La palme du coup foireux. Le point qui est inacceptable et inexcusable. Une seule fois ça s’est produit. On avait trop bu. Il était trop lâche, trop faible et surtout trop con.

Je ne l’ai jamais laissé recommencer. Et aujourd’hui, je regrette de ne pas lui avoir arraché tous les boyaux du ventre avec une aiguille à tricoter. Mais la roue tourne, je ne me fais pas de souci quant à son karma.